mardi 15 septembre 2015

Croisière Alaska 2 de 7 ( Kitchigan )

 8 juillet 2013.

Lever à 8 heures
Déjeuner
Chansons « wash your hands » et guitare avec le serveur d’hier










Il pleut
Kitchigan : magasin
Prix gonflé : boucle à 875$ à 250$
Perle gratuites
Jack strap en fourrure
Couverture à 2000$
Goute à salmon
Fille s’achète collier perle noire, recoit bracelet et boucle
 Gourde de Alaska
Origami frog
Cup cake
Raphy dort pendant 2 heures
Thomas est grippé
16h :  Splash course à relais; pas un succès car pas dans même équipe
Mélanie s’entraine, body conditionning
Seb va au spa avec les enfants
Salamat : merci en Philipien (gagalo)

5 à 7 au bar au 13e étage : baleines
Filles vont réserver la table pour la soirée : vin pétillant et soda gratuit pendant attente
Karaoke soir

Beaucoup de vagues pendant la soirée

Croisière en Alaska 1 de 7

7 Juillet 2013

Lever 8 heure; Sébas se leve avec Tom plus tot et va manger car il dit que ça commence à brasser…
Les filles se rendent un peu plus tard pour Déjeuner
À  10h15 nous nous rendons à un atelier de légo où nous sommes invités à construire un bateau en lego.
Sebas se couche après le déjeuner car il ne se sent pas bien
Nous allons participer à l’atelier de la Wi Tennis; un peu ennuyant de devoir attendre son tour, c’est un peu long
Pendant que les enfants vont au Splash garderie, les adultes se rendent au Deal or no deal 14 heures. Malheureusement les enfants n’ont pas apprécié leur expérience et ils nous attendaient impatiemment après 45 minutes…







Dehors, les enfants joue une game de dame avec les jeu géant.
Venteux++ pas de shuffltle ball de disponible.
La Card room pleine à rebord, pas de place pour jouer
Sébas décide d’aller jouer aux Cartes dans chambre avec les enfants pendant que Maman s’entraine au gym
Elle assiste au cour de conditionning 5 heure; où se donne un cours de renforcement musculaire.
Nous nous Préparons ensuite  pour soireé
Photos capitaine
Champage et orange crush en attendant table gratuit
souper
spectacle danse très bon

parle avec chef de la cruise, native montréal

San Jose et Santa Cruz





Nous nous levons à 7h30 ce matin .  Belle journée ensoleillée.  Mélanie prépare des sandwichs aux œufs et au poulet, des crudités et des fruits frais pour le repas du midi.












Nous nous dirigeons vers Santa Cruze Beach.  Le chemin est encore une fois rempli de courbes et de côtes.  Nous sommes contents de ne pas monter ces côtes avec le motorisé.  Encore une fois c’est étourdissant.  Le chemin est très étroit et aucun accotement disponible en cas de bris…Raphaëlle qui est assis à l’arrière de la caravane dit avoir mal au cœur.  Nous suivons Bernard qui dit avoir mis l’adresse de la beach sur le GPS.  Malheureusement,  le Gps nous joue parfois des tours et nous faisons quelques détours. 


Nous nous retrouvons sur le bord de l’Océan où nous pouvons voir de nombreux surfeurs encore une fois.  Par contre, nous ne voyons pas de plage où nous pourrons nous échouer.  Bernard accoste un résident qui lui dit de monter un peu plus haut pour en arriver au boardwalk menant à la beach.  Nous avons un peu peur à ce moment précis car le thermomètre de la caravane nous démontre 19 degré et le fond e l’air est très frais… Aurions-nous du rester la piscine de San Jose à 26 degré?  Nous espérons que non.




Quelques minutes plus tard, nous y arrivons.  Charlotte nous fait bien rire quand elle dit sentir une odeur insupportable; un petit mélange d’eau de mer et de poissons probablement. 


Nous défrayons 12$ pour un stationnement face au boardwalk qui nous donne accès directement sur la plage.  Nous avons apporté le rooly waller qui est encore une fois plein avec les jouets de plage, les chaises, le parasol et la glacière. 


Nous prenons place sur la beach. Le quai municipal est présent et avance dans l’Océan.  Derrière nous lorsque nous sommes assis sur la plage, se trouve un boardwalk avec des manèges.  Les enfants s’amusent à les regarder et à dire lesquels ils pourraient faire.  Dans l’Océan, nous pouvons voir des montagnes au loin dans la brume.  Nous nous demandons quelles montagnes sont-elles?  Plusieurs bateaux se retrouvent sur l’Océan, notamment beaucoup de voiliers.  Thomas fait même la remarque qu’il y a un bateau comme dans les films; un gros voilier de pirates.


L’eau  de l’Océan est très froide mais nous arrivons à nous saucer un peu.  L’eau  n’est par contre pas très propre à comparé à l’eau de Malibu ou Galverstone.  Il y a des algues et des roches au fond.    On ne peut pas courir trop car on risque de marcher sur une roche et se blesser.  Les vagues sont parfois très fortes surtout vers la fin de l’après midi.  Mélanie et Charlotte s’amuse dans les vagues et Sébastien dit avoir vu les fesses de Mélanie au retour de la vague; effectivement elle a dû relever son maillot rapidement.  Une jeune fille s’approche de Charlotte et de Mélanie; elle est peu bavarde mais semble vouloir créer des liens avec Charlotte.




Un bon dîner sur la plage, on se fait bronzer en écoutant de la musique, on joue au Trouble, on fait des château de sable, les enfants s’amusent à capturer des crabes de sable.  Charlotte à développer sa technique : elle creuse dans le sable et arrive à trouver les crabes camouflés; elle peut en trouver des dizaines en quelques minutes.  Elle les catégorise : les crabes papi qui bougent peu ou les petits nerveux.


Sébastien et  Mélanie vont prendre une petite marche sur la plage : nous avons vraiment choisi le meilleur des sites : à l’autre bout, la plage est pleine d’algues.


De notre site, nous pouvons entendre les gens crier des manèges et à la fin de l’après midi, un groupe de musique fait les sound check pour le spectacle de ce soir. Sébas fait mention qu’il aimerait se retrouver avec les Leblanc à ce show où ils se coucheraient probablement très tard.


Nous quittons la plage vers 17 heures 15.  Raphaëlle et Thomas font la sieste sur le chemin du retour.  Charlotte de son côté est toujours aussi curieuse et nous pose des questions sur ce que nous pouvons voir sur la route et sur le voyage en général.  Nous sommes contents d’être sur ce côté de l’autoroute car de l’autre côté il y a beaucoup de circulation, voir des bouchons.


Nous prenons les douches au retour et enfilons nos pyjamas. Ce soir, Bernard et Josée ont décidé de prendre leur cadeau, soit d’aller souper seul au restaurant et que nous gardons les enfants.  Mélanie prépare donc du bœuf africain et des burritos pour le souper.  Annabelle mange du bœuf et Jérémie des burritos.  Jérémie a même mangé un burritos sans se rendre compte qu’il contenait des oignons! Il en a même pris un deuxième.


Après le souper, les enfants vont à l’office.  Sébas fait la vaisselle et Mélanie en profite pour aller s’entrainer au Gym.  40 minutes de jogging. Sébas installe par la suite un film aux enfants dans le motorisé et chacun a son plat de pop corn.  C’est beau de les entendre rire de plein cœur pendant le film.


À la fin du film, Sébas va coucher les petits Daoust et Mélanie s’occupe des Labonté.  Mélanie en profite par la suite pour lire sur San Francisco vers où nous quittons demain.  Thomas n’a pas sommeil; il vient me rejoindre au salon.  Il vient ensuite se coller sur moi dans mon lit; nous le transfèrerons dans son lit plus tard au retour de Sébastien.


Donc, une magnifique journée, rempli de soleil; peut-être notre dernière journée très chaude car il annonce vraiment plus frais à San Francisco selon les prévisions.

Coyote Cruise et les cerises.....

Notre journée commencera vers 8 Heures.  Maman prépare les lunchs et Sébastien s’occupe de charger la caravane pour notre après-midi à la plage.

Nous nous rendons à 9 heures sur la rue derrière le camping où nous pouvons faire une auto cueillette de cerises.  Un vieux monsieur nous accueille avec son gros chien noir.  Il nous invite à entrer dans ses champs pour la cueillette.  1.50$ la livre de cerises.  Il y a plusieurs variétés de cerises rouges.  Les jaunes sont réservés au chinois.  Le vieillard nous raconte que ceux-ci aiment les jaunes car elles représentent pour eux la richesse. 

Un immense champ de cerises où les arbres sont chargés de cerises.  On doit en dénombrer au moins 2000 par arbres.   Malheureusement, on estime qu’il doit y avoir beaucoup de perte car nous sommes seuls dans le champs mis à part un homme qui dit en cueillir pour les revendre au market et un chevreuil qui fait la sieste après s’être bien sucré le bec.  Les enfants ont adoré cette expérience; c’est un rêve pour Charlotte de pouvoir manger autant de cerises qu’elle le veut!  Elle avait des étoiles dans les yeux.



Après s’être bourrée la face de cerises, nous allons payer notre récolte.  Nous avons une grosse chaudière représentant 4.5 kilo : 15$  Le vieillard nous raconte qu’il y a deux mois, il s’est retrouvé avec un ours noir dans ses champs.




Thomas nous dit avoir très aimé cette activité et son visage couvert de jus de cerise nous dit pourquoi…

Nous allons ensuite descendre la rivière avec coyote Cruise.  Nous faisons la location de 4 trips et nous avons un bateau gonflable. Nous décidons de nous attacher à l’aide d’une corde car il y a beaucoup de courant et nous ne voulons pas nous perdre dans la rivière. La descente se passe bien jusqu’à temps que nous entrions dans le courant et que nous arrivons face à un pont comprenant un muret.  Mélanie fonce tout droit sur le muret.  Elle décide de tenter de se pousser mais sa chambre à air chavire et elle se retrouve coincée entre le muret de ciment et entre les chambres à air de Thomas et Raphaëlle et en plus la corde à l’entour du cou.  La corde l’étrangle et lui brûle le dos mais elle réussit à tirer la corde et la passer difficilement par-dessus son cou.  Elle est emportée ensuite par le courant, réussit à nager difficilement vers le rivage et s’accrocher au herbe.  Raphaëlle et Thomas se retrouve accrochés au muret de ciment et Charlotte dérive au large avec Sébastien.  Ce dernier réussit à la ramener au large et à la mettre en sécurité.   Bernard est ensuite sorti de l’eau pour aller décrocher Thomas qui était dans son petit bateau, Sébastien l’a rattrapé plus loin.  C’Est un sauveteur de « coyote Cruise » qui est allé coupé la corde qui attachait Raphaëlle .  Elle est tombé de sa chambre à air et a réussit à rejoindre Mélanie à la nage.  Nous avons ensuite continué la descente, deux chambre à air en moins. 

Après tant d’émotions, les enfants étaient très inquiets pour Mélanie qui avait une marque de corde sur le cou.  Les gars sont embarqués dans l’autobus de coyote pour aller récupérer les caravanes tandis que nous allions réserver une belle place sur la plage.  La température est magnifique, la  plage est très belle et l’eau est très claire.  Nous pouvons observer les magnifiques montagnes; on y voit des champs de cueillette ou des vignes au loin. 

Mélanie fait une petite sieste sur la plage probablement épuisée par les émotions; à vrai dire, elle aurait pu s’étrangler…


Nous quittons la plage à 17 heures.  Nous passons à l’épicerie car il nous faudra de la viande froide pour demain car nous ferons beaucoup de route.

 Un petit souper, escargot à l’ail et steak avec zuckinis gratinés au menus.  Cerises pour dessert.

Une petite game de trouble en famille avant de se coucher tôt.  Mélanie prendra des relaxants musculaires et des advils pour passer une bonne nuit car on voit bien l’enflure dans son cou et la brûlure de la corde.


Quelle journée!!!

Penicton ( vallée de l'Okanagan )


Difficile de se lever ce matin; le réveil sonne à 7 heures mais nous sortons du lit à 7H30.  Nous laissons dormir les enfants. Transférons Charlotte dans notre lit pour pouvoir fermer l’extension.




Nous prévoyons plus de 4 heures de route ce matin.  Nous avons encore droit à un beau paysage, notamment de grandes forêts vertes de  feuillus et conifères  mais également à des côtes! Sébastien se dit vraiment tanné.  Mélanie est tellement épuisée qu’elle se permet de faire une petite repose en matinée.  Nous arrêtons mettre de l’essence vers 10h30; les enfants n’ont même pas encore déjeuné.  Maman leur prépare le déjeuner pendant que nous sommes arrêtés pour l’essence et nous voila reparti!


Nous affrontons encore et encore des grosses côtes montagneuses; Bernard doit même retirer son dolley de derrière le motorisé car ses freins de motorisé ont encore chauffés.  De notre côté, tout a bien été mise à part un peu d’odeur de frein à la fin du parcours. 


Nous grignotons en cours de route car je n’ai rien de froid que nous pouvons nous mettre sous la dent; de bons biscuits scooby doo feront l’affaire pour nous faire patienter.


Nous arrivons au camp Along de Penticton à 14h30.  Nous devons retirer le dolley du motorisé tant l’entrée est serrée.  Charlotte ne demande qu’à sortir du motorisé pour aller voir s’il y a des arbres à fruits.  Elle est très bien servie parce qu’à l’entrée, nous accueille des arbres à poires.  Malheureusement elles ne sont pas mûres.  Charlotte a des étoiles dans les yeux en les voyant.  Un peu plus loin, elle fait la découverte d’arbre à abricots.  Elle en déguste plusieurs qu’elle cueille elle-même dans les arbres.



Les enfants s’amusent à faire des purée d’abricots en bricolage.


Pendant que les mamans vont faire l’épicerie au IGA, les papas et les enfants vont se baigner à la piscine du camping.   Au IGA, très peu de choix, des prix désastreux mais nous retrouvons quelques produits du Québec que l’on s’ennuyait.  Une épicerie de 200 dollars mais peu de choses.  Mélanie a même eu de la difficulté à se souvenir de son nip de carte de crédit; après 4 mois de voyage, c’était la première fois que l’on me le demandait.


Au camping, très petit terrain entre deux arbres d’abricots.  Le propriétaire chinois dit qu’il est amplement grand!  Seb et Bernard sont un peu choqués car nous avions réservé ce terrain depuis mars dernier.  En plus, nous ne sommes même pas un terrain cote à cote.



En soirée, un peu de planification du reste du voyage; les gars ont discuté avec des québécois à la piscine.  Il parait qu’il nous reste des montagnes…



Demain, cueillette de cerises et descente de la rivière avec coyotte cruise en trippe.


lundi 14 septembre 2015

14 juillet à Seattle


La nuit a été fraîche cette nuit; c’est frisquet dans le motorhome ce matin.

OUF! Le réveil est brutal ce matin au son du réveil matin à 7H30. Nous aurions resté couché ce matin mais il faut quitter pour Vancouver.  Les filles demeurent couché au départ. 


Nous quittons avec un dolley vide ce matin car Michel et Serge ont quitté avec notre vanne.  Sébas fait un test de la génératrice en prévision des wal marts qui s’en viennent : elle fonctionne très bien.  En route pour Vancouver, nous pouvons déjà voir les montagnes au loin. Des montagnes de neige.  Nous franchissons un grand pont qui donne l’impression d’avoir multiples fils d’araignée à notre arrivée à Vancouver.


Nous recevons un service en français au douane à notre demande; un type vraiment sympa.  Aucune question sur le dolley vide…


Nous arrivons au camping après avoir passé dans une réserve indienne pour pouvoir avoir accès à l’entrée du camping.  Les enfants débarquent jouer au park en arrivant.  Deux sites assez petits mais nous nous arrangeons pour se coller et avoir de la place en prévision du souper de ce soir où nous allons recevoir Michel, Jacinthe, Serge et Nicole.


Nous dinons avec une bonne salade de crevettes et avocats.  En pm, nous prenons le temps de jouer aux cartes; les Labontés gagnent encore!


Notre visite arrive vers 16h30; ils ont été visité la cousine à Michel à Vancouver.



Nous préparons ensuite le souper : filet de porc brie pesto et proscuito.  Un souper bien arrosé et des rires garantis avec la famille.  Un souper qui fait du bien.  Les enfants disent qu’ils sont contents de les voir à ce moment-ci car ils savent qu’ils les reverront dans environ un mois.  Si nous les avions vus en début de voyage, il aurait été difficile d’attendre encore 4 mois avant de les revoir… 


Nous tentons d’envoyer un message à Doum Leblanc par internet mais le signal est minable… échec.  Nous rencontrons plusieurs québécois sur le site du camping; plusieurs arrêtent pour nous parler.  Nous installons un film aux enfants à l’extérieur, ce qui nous permet de jaser un peu en adultes.

Les filles accompagnent Sébastien pour aller reconduire la gang qui est dans un motel à 0.7 mile du camping.  Nous prévoyons aller à Capilano Bridge demain; ils nous accompagneront.  Nous avons prévu un autre souper en famille demain soir

Le mont St-Helen; un volcan




Sébas tente de voir en matinée ce qui ne fonctionne pas avec l’invertor; il tente d’appeler chez des réparateurs mais les prochains rendez-vous possible sont seulement le 21 juillet!  Il réussira à prendre rendez-vous pour le 16 juillet à Vancouver, au retour de la croisière.

Nous quittons donc le camping vers 12h30, après avoir mangé une bonne salade de crevettes et avocats, en direction du Mont St-Helen.  Nous avons environ une heure de route à faire pour s’y rendre.  Quelques view points en cours de route nous permettent de faire quelques belles photos.  Nous avons vraiment l’impression de s’approcher d’un gros glacier, une immense montagne blanche devant nous. Le paysage est magnifique!



En cours de route, nous remarquons des milliers et des milliers de sapins dans les montagnes à l’entour de nous.  Il y en a tellement que cela nous donne l’impression que le paysage est en 3D.  Cela nous fait loucher des yeux!  Est-ce une plantation ou seulement des sapins qui ont tous repoussés ensemble suite au Volcan?  Nous poserons la question…




Arrivé au Johnston ridge National Volcanic Monument observatory, nous sommes très contents de constater que nous pourrons bénéficier de traduction française pour la visite et pour les films qui y sont présentés.  Cela augmente l’intérêt des enfants lors des visites.  Nous  nous rendons donc récupérer nos « translators » via les rangers de la place.  Nous commençons les différents ateliers en attendant la prochaine représentation des films. 





Différentes ateliers expliquant les différents phénomènes : la lave, les volcans et ses éruptions, les roches…

Les ateliers qui ont plus retenus l’attention des enfants ont été celui du sismographe  et celui des vibrations et secousses.  Le premier nous montrait véritablement le tracé d’un sismographe et invitait les gens à marcher et sauté sur un tapis afin de constater la différence du tracé.    Le deuxième était un atelier qui nous permettait de ressentir la différence de vibrations ressenties.  Nous apposions nos mains sur une maquette qui nous faisait ressentir la vibration de différents phénomènes : la course d’un troupeau de Wapitis, le bris d’un rocher,  un séisme à 50 km et un autre séisme sur une distance allant des États-Unis au Chili. 




Nous avons également vu des pancartes nous expliquant différentes histoires de personnes et de familles ayant survécu ou non à l’éruption volcanique malgré parfois des distances impressionnantes.  Certains n’ont pas survécus malgré le fait qu’ils habitaient à plus de 15 km du Mont St-helens. En tout plus de 55 personnes y seraient morts, suite à l’éruption de 1980.   On se souvient d’un homme de 80 ans, qui habitait, Spirit Lake, qui n’a pas voulu quitté les lieux lors de l’évacuation; il est décédé où il a toujours vécu.

On apprend que lors de l’éruption, un épais nuage de fumée dense de 24 km de hauteur couvrait le ciel ce qui faisait en sorte qu’on se croyait en pleine nuit en plein jour.    De la poussière volcanique a été constatée jusqu’à plus de 100 km du Mont St-helen.  Des arbres ont été brisés sur un périmètre de plus de 15 km.

Le mont St-Helen ????????????hauteur

Perdu le cap de roche en ??????????

Deux films nous ont été présentés à l’observatoire : le premier sur le phénomène du Volcan et le deuxième sur la vie végétale et animale liée au volcan.  Le deuxième a capté plus notre attention.  Charlotte était très contente d’entendre que les grenouilles et les salamandres ont survécus à l’éruption volcanique.  Les lupins furent l’espèce végétale qui s’est développée et étendue le plus rapidement.  Nous pouvons encore voir des tapis de lupins mauves dans la vallée.

Le paysage donnant sur le Mont St-Helen nous présente vraiment un paysage lunaire.  Nous pouvons voir les traces laissées par la lave ayant asséchée tout sur son passage.  Une vraie force de la nature.  Les magnifiques fleurs mauves et rouges couvrent en partie le sol.  Des troncs d’arbres asséchés sur le sol sec et des souches par centaines nous démontrant bien qu’il a tout arraché sur son passage.
Pendant que nous observons le Mont, un homme nous invite à regarder dans son télescope afin d’observer un troupeau de  plus de 40« elk » (wapitis) qui sont allongés en bas de la falaise.  Un magnifique spectacle.

Nous avons eu la réponse à notre question sur les arbres allignés un peu plus haut sur la route; pourquoi sont-ils si bien allignés? Ce sont des plantations selon ce que le Ranger nous a dit.






Nous ne nous attendions à rien du Mont St-Helen.  Nous avons été agréablement surpris de ce que nous avons vu.  Où pourrons-nous observer à nouveau un site historique de volcan?  Nous sommes vraiment privilégier et cela valait vraiment le détour.

Nous quittons le mont St-Helen à 17heures.  Une heure de route pour le retour.  Nous arrêtons acheter des cerises fraîches dans un kiosque sur le bord du chemin : Les enfants sont très excités; nous optons pour des cerises jaunes au lieu des rouges; ce sera notre dessert.

Après le souper, on prend le temps de jouer au ballon avec les enfants et prendre une petite marche dans le camping.  Après la douche, les filles commencent à faire leur valises pour la croisière; elles sont très excitées.



cable car, lombard street et quartier chinois à San Francisco



Nous prenons un dernier café au Rv Coyotte ce matin à l’extérieur avec un petit bagel pour le déjeuner.    Sébastien va faire le plein de propane ce matin avant de quitter.  Je vais m’assurer à l’office que je me ferai bel et bien remboursé notre 6$ pour la table à pique nique que nous n’avons pas pris.  Le remboursement se fera sur la carte de crédit car internet ne fonctionne pas ce matin.  Je retourne également ma clé pour le fitness room.  Les filles vont feuilleter des revues à potins dans la salle de séjour pendant que nous faisons le check out.  Maman joue une partie de babyfoot avec Thomas pendant ce temps.


Nous quittons pour Rv Resort Pacifica vers 11 heures.  Arrivée  vers 12h30 devant l’office.  Malgré ce qu’ils nous avaient promis, nous n’avons pas de terrain côte à côte.  La game room n’est pas ouverte car les jeux sont tous brisés selon la dame, des motorisés rempli de plantes vertes…  Un minuscule terrain de 17 pieds de large.  Le terrain de Bernard est un peu plus large.  Il y a déjà deux campeurs de chaque côté de notre terrain alors nous devrons faire un stationnement parallèle.  Sébastien se débrouille très bien.  Nous sommes tellement collés sur les voisins que nous ne sommes pas capables d’ouvrir les extensions.  Même si nous passerons beaucoup d’heures dans la ville, nous ne voyons pas comment nous pourrons vivre dans ce minuscule terrain pendant quelques jours.  Nous décidons donc de faire quelques recherches.  Malheureusement, il y a très peu de terrain de camping sur le territoire de San Francisco.  Mais Josée fait la trouvaille d’un camping Koa à Pétaluma; le camping de rêve pour les enfants.  Bernard y loge un appel pour voir les disponibilités.  Yahou! Deux terrains de disponibles à partir de demain; nous bouquons pour la semaine.


Nous faisons la rencontre de l’un de nos voisins qui remarque le badge de policier sur notre toutou de Grisou.  Il est lui-même un policier retraité de la Swatt de L.A.  Il nous fait la promesse de nous faire parvenir une casquette de la Swatt par la poste.  Nous lui remettons en échange un badge de S.P. de Trois-Rivières.


Nous nous cuisinons de bons hotdogs dans la poêle pour le dîner car nous n’avons pas de place pour sortir le barbecue. 


Nous devons nous rendre en ville cet après-midi pour aller chercher nos city pass au Pier 33, ce que nous faisons.  C’est le bordel en ville.  La circulation est déviée compte tenu du match de baseball au AT and T stadium.


Nous arrivons devant le Pier : aucun stationnement de disponible.  Les gars décident de se mettre sur les quatre clignotants  sur le côté de la rue comme de bons touristes.  Josée et Mélanie se rendent au guichet pour récupérer les city pass.  La dame refuse de nous les donner même si je présente une carte d’identité pour Sébastien.  Elle exige que les gars soient là en personne.  Nous retournons donc à la voiture et prenons la relève dans la voiture avec les enfants.  Les gars reviennent quelques minutes plus tard avec les city pass.


En ville, nous pouvons voir de nombreux « cable car » le ciel est par moment comme une toile d’araignée.  Des autobus qui sont rattachées à des fils de fer.  Il y a aussi des autobus deux étages permettant de faire des visites de la ville. Beaucoup de vélos qui se promènent car il est possible de louer des vélos pour faire des visites guidées en vélo de la ville.  On peut aussi louer un genre de moto deux place, cela ressemble un peu à un spider.


Nous poursuivons notre route pour tenter de trouver un stationnement pour se promener en ville un peu.  Des stationnements à 45$ par jour sont disponibles mais ils ont une hauteur de 6.6 mètres.  Mais les bons touristes que nous sommes, n’avons pas enlevés les vélos sur notre toit de voiture, donc nous n’entrons pas.  Il y a tellement de chose dans la caravane en arrière (car nous n’avons pas pris la peine de la vider compte tenu que nous quittons demain matin) que nous ne pouvons pas y insérer les vélos.  Nous tournons donc dans la ville à la recherche d’un stationnement.  Nous en croisons un en passant sur le côté de la rue : 5.75$ de la demi-heure et à raison de deux heures maximum… même pas le temps de souper en ville.  Nous poursuivons notre recherche et arrivons à une Marina un peu plus long; le stationnement est gratuit mais cela nous demande de marcher un peu.  Ce que nous faisons pour se rendre à quelques miles de là où nous prendrons la « muni », le transport en commun de la ville, soit un autobus.  Notre city pass nous permet de le prendre à volonté pendant la semaine.


L’autobus  nous débarque près du Pier 39.   C’est remarquable de voir comment les chauffeurs d’autobus ne regardent même pas notre passe à l’entrée dans l’autobus.  Même Thomas fait la remarque : « le monsieur n’a même pas regardé ma pass, il lisait son journal ».


De nombreux commerces s’y trouve.  Nous trouvons des casquettes à 5 dollards de San Francisco.  Nous décidons de souper dans un restaurant qui nous semble bien; le Pier Market restaurant sea food.  Le restaurant est bondé.  Notre serveuse est capable de comprendre le français mais très peu capable de le parler.  Notre voisin de table est un spécialiste en biologie médicale vivant à 30 minutes de Paris.  On lui fait un brin de jasette pendant le souper.  Les gars prennent une bonne bière et Mélanie se gâte avec un Mango Daiquiri; il est très apétissant.

Pour le repas, Mélanie opte pour une trilogie de crevettes : Succulent!  Sébastien a un appel de viande : il opte pour le steak et crevettes.  Raphaëlle craque toujours pour le clam chowder dans un bol en pain.  Il parait que c’est le deuxième meilleur dans la ville de San Francisco.  La critique de Raphaëlle : Il est très bon mais le pain de la bakery de walt Disney était meilleur.  Charlotte de son côté a hésité entre les fish n chips ou les chicken tender mais a opté pour une valeur sure : les chicken tender.  Thomas y va toujours avec son coup de cœur : le Burger.  La limonade est à volonté pour les enfants alors ils en profitent.    



 À la sortie du restaurant, il fait très froid à l’extérieur : les parents se prennent un café dans un petit commerce face au resto.  Nous le sirotons en poursuivant notre marche sur le piers.    En arrivant au bout du Pier, nous assistons à une demande en mariage « live » sur le quai.   Nous assistons par la suite à un petit spectacle de magie par un magicien sur le stage central de la rue.  Les enfants adorent ça.


Par la suite, nous entrons dans la boutique « Houdini » et les vendeurs nous montrent quelques trucs de magie.  Le tout est très interactif et les enfants participent au tour. Les enfants ont adorés voir les magiciens faire voler les cartes devant eux!


Nous retournons au motorisé en plein brouillard; on se croirait dans une tempête de neige.  Nous nous couchons encore à 23h30.  Pas facile les vacances!